Dans un sondage de la firme FlexJobs réalisé principalement aux États-Unis et au Canada, environ deux répondants sur trois, actuellement en télétravail, ont affirmé vouloir le demeurer après la pandémie.

Plus encore, pas moins de 58 % disent qu’ils se mettraient à la recherche d’un nouvel emploi si leur employeur décidait de ne plus permettre le télétravail. En fait, aussi peu que 2 % des télétravailleurs actuels souhaiteraient un retour au travail « traditionnel », et 33 % aimeraient se faire offrir une formule hybride.

Parmi les raisons invoquées en faveur du télétravail, le temps sauvé en transport (84 %) et les économies engendrées (75 %) sont les plus fréquentes. En revanche, détail peut-être important pour les propriétaires d’entreprises, on reproche au télétravail d’empiéter sur la vie personnelle (35 %) et de présenter plusieurs défis techniques (28 %).

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